Les Lettres D’Une Libertine – Rtt À La Plage Naturiste (1/1)

Au niveau boulot, j’avais eu des mois printaniers difficiles et je n’avais pas ménagé mes heures pour compenser des postes de travail non pourvu et que tous les dossiers avancent, pour le plus grand plaisir de ma cheffe.
A l’arrivée d’une nouvelle collègue et après quelques jours de formation sur le tas, j’eue la bonne nouvelle de découvrir un courriel de mon chef m’annonçant que les dernière quarante-huit heures de ma semaine seraient dédiées à une récupération d’heures, plutôt bienvenue.
La météorologie de cette fin de mai s’annonçait particulièrement belle et chaude. « Pourquoi n’irais-tu pas te reposer et farnienter à la plage, je t’y rejoindrais en débauchant » me proposa mon Homme. Bien qu’avec pas mal de choses en souffrance également à la maison, je trouvais l’idée plutôt séduisante … de m’accorder une pause.
Ainsi fut dit, ainsi fut fait. Et dès le lendemain, en fin de matinée, panier de plage garni en main, me voici arpentant l’allée forestière N°11 menant à la Pointe Espagnole, ma plage culs-nus préférée.
Nous avons l’habitude de nous mettre à la limite de la plage, légèrement en retrait dans le tout premier cordon de dunes, à la fois pour se préserver du vent de mer mais également des « Suricates » des dunes fréquentent la partie plus arrière dans l’espoir d’une exhibition voir même de couples, qui comme nous, s’abandonnent parfois à leurs envies sur le sable chaud. Mais je ne suis pas super fan lorsqu’ils sont nombreux, car ces voyeurs sont souvent un peu lourds et viennent anéantir la joie des plus respectueux, que parfois nous invitons pour une gâterie buccale ou plus, en toute fin de journée.
Le site est pour moi toute seule et je prends le temps d’installer mon havre de repos, paravent à bandes bleues-blanches, parasol et de mettre mon petit panier-repas à l’ombre. Un peu de crème solaire et zou me voici à poil, à ouvrir le livre abandonné quelques semaines auparavant. Quel calme et volupté.


Depuis l’an passé, le réseau téléphonique a été amélioré et je capte allongée sur mon drap de plage. Je me prends en selfie, à poil jambes écartée en mode provoc’ et l’envoie à mon Homme. « Spéciale dédicace, c’est désert car on est en semaine … A moi le vent, le sable et les doux rayons du soleil, merci de cette bonne idée ».
La réponse ne manque pas d’arriver. « Fais dorer, fais dorer …j’ai une demie molle à voir ton petit clito tout fripé ! ». Tu m’étonnes une petite chatte toute lisse avec un piercing jaune fluo sur le sable chaud, cela met n’importe quel mec en ébullition !
J’alterne bain de soleil, crème solaire, lecture, micro siestes et bains de mer. A part un couple de quarantenaire venu lui aussi bronzer, je suis tranquille et il n’y a pas un « Suricate » à l’horizon.
A 15h30, je suis réveillée par une notification sonore. « A 16h, tu seras rejointe par Julien qui sait comment te retrouver. Il a carte blanche pour faire de ta journée balnéaire un vrai bonheur. Je veux quelques MMS explicites, si … ».
Julien est un beau jeune homme rencontré l’été dernier lors d’un dogging de soirée estivale dans une carrière dédiée aux sculpteurs sur calcaire. Il est beau comme un cœur, d’une jolie musculature liée à son métier de viticulteur, cheveux aux vents et particulièrement doux et attentif à sa partenaire.
Je n’étais pas disposée à une partie de jambe en l’air et le petit cadeau de mon mari me surprend, ayant toujours refusée de rencontrer sans lui. « Merci pour la surprise mais je t’ai toujours dit que ce n’est jamais l’un sans l’autre ». « Je serais avec toi par MMS et puis ce n’est pas un inconnu …C’est Julien que tu avais bien appréciée ! ». « Bon OK mais il sait que je suis en farniente et pas en mode coquine ? ». « Oui ne t’inquiète pas, just enjoy !! ».
Mon jeune poulbot est arrivé sur ces entrefaites, déjà tout hâlé par le soleil de mai, toujours aussi mignon. Le mode coquine s’active automatiquement dans mon esprit et je sens mon corps réagir.
« Bonjour, c’est vous la jolie femme qui a commandé un masseur ? » me demande-t-il en guise d’introduction ? Il se débarrasse de son petit short et de ses Tongues, étale son drap de bain et s’allonge à mes côtés.
Dieu qu’il embrasse bien ce jeune homme. C’est langoureux et ça sent bon le sable chaud hormoné. Ses mains sont caressantes mais évitent soigneusement les zones érogènes. Et là, je sens que ma fin d’après-midi va être effectivement plaisante : il n’y a pas l’once d’un empressement dans ses gestes.
Il m’allonge sur le ventre, se positionne à califourchon au-dessus de mon fessier, son long sexe reposant lascivement sur ma raie culière. Il se saisit de la crème solaire et sous le prétexte de me protéger des rayons, commence à m’y déverser des doses sur différents endroits.
Je ne sais pas qui l’a formé au massage mais ses gestes sont précis, efficaces et méthodiques. Il me prodigue un vrai massage de pro. Seul le vent dans les oyats et le bruit des vagues viennent compléter l’ambiance. La nuque, les trapèzes, les points douloureux de la colonnes d’une travailleuse d’écran sont ainsi travaillés et détendus. Je m’abandonne sans aucun frein, il peut tout me faire car l’instant est très bon.
Il se place alors sur le côté, et poursuit le lent travail des flancs, des lombaires, revient sur les omoplates et puis je ne sais plus ni quoi ni où, mon esprit sombre dans le bien être ! Le déclic d’un smartophone qui prend une photo me remonte à la surface. « Pour ton mari, c’est sa consigne » me dit-il en reposant l’objet.
Puis ses mains remontent le long de mes jambes, font l’arrière des cuisses et redescendent par l’intérieur, il y remonte et frôle mes lèvres intimes charnues. Ses mains travaillent mon fessier et je sens le sens du geste changer, il devient à la fois langoureux et plus érotique. L’excitation doit certainement monter. J’entrouvre mes jambes, la vue offerte doit être plongeante, sur ma fente qui s’humidifie. Le travail manuel des fessiers fait que je sens l’air frais parcourir ma chatte qui s’entre-ouvre avec les mouvements des globes au-dessus.
Ses doigts remettent de la crème solaire et travaillent ma raie et mes fessiers de manière plus précise. Il ose des passages furtifs sur mon anneau de bronze, sur le coté de mes lèvres intimes. Je gémis de plaisir et d’envie.
Son bassin se positionne à nouveau en arrière de mon fessier et ses mains reprennent position de mon dos huilé et les massages reprennent comme au tout début, à la seule différence que je sens son long sexe tendu et lourd sur ma raie à chaque fois qu’il se penche pour me faire les trapèzes.
De petits mouvements de son bassin font coulisser son sexe sur ma raie où la crème solaire joue le rôle de lubrifiant. Je tends celui-ci vers l’arrière pour indiquer mon accord. Il farfouille dans son short et le bruit caractéristique d’un étui de préservatif me rassure. Il glisse alors son sexe sur ma fente plusieurs fois pour se lubrifier et le plonge d’un seul coup dans ma salle de jeux.
Il continue à me masser tandis que son sexe me remplis et me masse aussi l’intérieur. Son mouvement de bassin est ample, sensuel et s’accorde bien avec celui de ses mains bienfaisantes. Il augmente le rythme et mon plaisir monte avec celui-ci. Une première série de vagues de plaisir prend possession de mon ventre. Il les accompagne divinement bien, ce que peu de mâles savent faire.
Il s’essuie les mains. « Vidéo pour Monsieur » me dit-il en reprenant la pénétration tout en manipulant son téléphone, mais en accentuant la sortie de son sexe certainement pour mieux faire visualiser la chose au grand absent du jour. Son pouce caresse mon anus et me fait gémir. Il se retire et me fait positionner en levrette et me reprend longuement, tout en titillant de ses doigts mon capuchon, mon clitoris et parfois remontant sur mon anneau.
Je ne tiens pas beaucoup à son traitement et me voici une nouvelle fois à la merci d’un orgasme, plus intense que les premiers. Il me libère. « Encore ou tu veux une pause avec bain de mer ? » me demande-t-il.
Comme un petit couple, nous nous égayons dans l’eau, bientôt rejoint par le couple de naturistes que j’avais oubliée.
La fraicheur de l’eau a rapidement raison de nous et nous sortons tous les quatre. La femme regarde en souriant mon partenaire et lui fait un clin d’œil. Assurément ils se sont bien rincés l’œil.
Petite série photos pour mon homme, sous le regard amusé du couple. Les poses se font suggestives au fil des éclats de rires et ils finissent par nous rejoindre. L’homme propose de faire les photos pendant que les femmes profiteront du bel éphèbe.
Je ne sais pas trop comment nous avons pu en arriver là mais au fil des directives de notre photographe, nos deux bouches se retrouvent sur le sexe de Julien qui ne refuse en rien ce plaisir. Ses yeux se plissent de bonheur, il grogne de sentir nos bouches et langues alterner sur son gland, sa hampe ou son joli paquet tout lisse. Je le sens bien se tendre petit à petit mais il gère plutôt bien la pression avec 2 femmes avides à quatre pattes à ses pieds.
Je sens alors les mains du photographe se poser sur mon fessier. Je me dérobe vivement en le fusillant du regard. J’invite Julien à s’allonger sur le drap de bain et je m’empale sur lui, signifiant ainsi mes intentions de ne pas être partagée.
La femme s’approche m’embrasse avec un sourire complice puis se mets à genoux et prends mes seins en bouche. Mes tétons s’amusent sous sa langue qui sait précisément exacerber leur sensibilité, tandis que son mari s’est introduit en elle en levrette et lui claque la chatte à grand coup de sexe tout en me regardant droit dans les yeux. Elle halète tout comme moi et nous partons l’une après l’autre dans une jouissance que nous achevons dans un baiser passionné.
Nous proposons à nos partenaires, en femmes comblées que nous sommes, de se masturber sur nos seins. Je dirige Julien vers les seins de ma complice tandis qu’elle fait de même pour son mari.
Julien a une très belle semence fluide et bien blanche, que j’ai déjà appréciée par le passé. Il ne tarde pas à se lâcher en un très joli jet, suivit de 2 autres. La pluie de sperme semble ravir ma partenaire qui étale celle-ci sur ses seins en regardant son homme d’un regard mutin.
Celui-ci ne tarde pas à lâcher aussi son essentiel de mâle. Moins fourni mais d’un joli crémeux, j’imite sa femme et fait de ce baume au parfum morille, ma crème solaire. Julien filme la scène et j’imagine déjà la surprise de mon Homme de découvrir çà.
Je ne sais plus qui a rompu le silence gêné qui a suivi mais nous avons fini notre partie de plage à papoter à 4 sur nos draps de plage, pour seuls compagnons les goélands venus profiter de la laisse de la mer descendante.
Julien en galant libertin m’a accompagné à ma voiture. Un baiser passionné et un merci presque timide soufflé au creux de l’oreille sont venus clore cette parenthèse libertine.
Je vous laisse imaginer le débriefing imposé à mon retour, car les MMS et vidéos n’avaient fait qu’enflammer l’imagination de mon mâle attitré. J’ai fini par évacuer l’exercice détaillé par un « tu n’avais qu’à être présent comme j’aime à ce que tu le sois, dans ces moments-là ! ».

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